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publié le 22 Mar 2025 par Olivier TOURVIEILLE
Ce sujet comporte une partie commune Ingénierie, Innovation et Développement Durable puis une partie spécifique Systèmes d’Information et Numérique.
Partie commune (durée indicative 3h00) - Partie spécifique (durée indicative 2h00)
Mise en situation
Le PAL (Parc Animalier et de Loisirs) est situé à Saint Pourçain sur Besbre dans l’Allier. Créé en 1973, il est original par ses triples facettes ; c’est le seul parc français à conjuguer attractions, animaux et hébergements atypiques. Il est aujourd'hui le 1er site de loisirs le plus fréquenté de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Le PAL propose 30 attractions, 1 000 animaux, des représentations animalières et de nombreuses animations pédagogiques sur 50ha de nature. Il est ouvert aux publics sur une période de 6 mois dans l’année, d’avril à septembre de 10h à 19h. Soucieux de réduire l’impact de son activité sur l’environnement, le PAL est engagé dans une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Depuis 2007, il s’est lancé dans une démarche de développement durable pour obtenir la certification de tourisme durable, l’une des plus exigeantes au monde « GREEN GLOBE ». Actuellement il défend un nouveau label : le Label DIVERTISSEMENT DURABLE. Il vise à initier une prise de conscience, dans le secteur des loisirs et de la culture, des problématiques environnementales et sociales et engager un mouvement des professionnels du divertissement pour répondre à ces enjeux. En 2023, l’année de ses 50 ans, il a pu s’enorgueillir d’avoir fait le meilleur score depuis sa création : 730 000 visiteurs ont fréquenté le parc, soit environ 5% de plus qu’en 2022. Une clé de sa réussite est d’investir chaque année 25% de son chiffre d'affaires dans des nouveautés (attractions, aménagements d'espaces animaliers, hébergement, restauration, accueil...) pour fidéliser sa clientèle. En 2024, il propose une nouvelle attraction aquatique sur le thème de la Scandinavie : le FJORD EXPLORER.
Le Fjord Explorer associe des parties nautiques et une partie à sensations fortes qui culmine à 28 m de haut, avec une chute finale de 18 m, une vitesse maximale de 79 km·h-1, pour un parcours de 600 m. Avec cette nouvelle attraction le parc souhaite augmenter sa fréquentation de 5% par rapport à l’année 2023.
Objectif : dans cette partie du sujet, il s’agit de montrer que l’investissement lié à cette attraction est économiquement rentable.
Objectif : le flux des visiteurs est lié au débit du canal d’emmenée à la rampe de montée. L’objectif de cette partie est de dimensionner la pompe de circulation de cette portion du circuit.
Objectif : la solution technologique utilisée pour constituer le canal d’emmenée engendre des contraintes de génie civil. Dans cette partie il s’agit de valider ce choix technique du retour d’eau par rapport à une solution plus classique et des objectifs d’optimisation de flux des visiteurs.
Objectif : vérifier la gestion du débarquement/embarquement afin d’optimiser le flux des passagers.
Objectif : le nouveau bassin, de par son exposition et son utilisation va dissiper de l’eau dans la nature. Cette eau est toutefois nécessaire au bon fonctionnement de l’attraction. Le but de cette étude est d’évaluer au mieux les besoins en eau et de trouver des solutions qui auront un moindre impact environnemental.
Le projet du FJORD EXPLORER a été imaginé pour être construit sur une zone périphérique du site actuel. Nous avons besoin de surveiller cette nouvelle partie du site. Ce sujet aborde différents aspects relatifs à l’acquisition d’informations.
Objectif : dans cette partie, il s’agit de vérifier la gestion de la température dans l’armoire électrique en fonction des exigences du cahier des charges.
Objectif : Dans cette partie, il s’agit de vérifier que la solution technologique implantée permet la gestion des données fournies par les caméras.