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publié le 18 Juil 2025 par Olivier TOURVIEILLE
Ces dernières années, l’essor des procédés d’impression 3D métallique, qui font partie des procédés de fabrication additive, a permis de développer de nouvelles applications industrielles jusqu’alors non réalisables. Trois applications industrielles innovantes se démarquent : l’ajout de fonction technique sur une pièce existante, la création de géométrie complexe impossible à réaliser avec des procédés traditionnels et la réparation de pièces métalliques.
Les différentes technologies de procédés d’impression métallique s’appuient toutes sur le même principe physique de soudage. La matière ajoutée est apportée par un outil, appelé tête d’impression, sous forme de fil ou de particules métalliques de très faible diamètre, de l’ordre de 15 à 45 microns.
Pour réaliser une pièce, la tête d’impression, déplacée à vitesse maitrisée, dépose la matière par couches successives de 0,2 à 0,5 mm de hauteur en fonction du niveau de précision désiré.
I - Procédé Directed Energy Deposition
II - Bras robotisé de déplacement de la tête d’impression
III - Défauts de matière
IV - Cadre de l’étude
Objectif : Définir une commande de déplacement de la tête d’impression simple et paramétrable.
Objectif : Établir la relation entre les coordonnées cartésiennes de la tête d’impression et les coordonnées articulaires des segments puis déterminer l’erreur angulaire maximale des articulations.
Objectif : Établir un modèle de comportement dynamique du bras articulé permettant de simuler le mouvement de la tête d’impression.
I - Étude à l’équilibre
II - Modèle de comportement dynamique de l’articulation E
III - Modèle de comportement dynamique des articulations C et B
IV - Modèle de simulation du comportement dynamique non linéaire couplé du bras articulé
Objectif : Établir un modèle de comportement dynamique linéaire couplé du bras articulé permettant de synthétiser la commande des mouvements des trois articulations.
I - Modèle de comportement dynamique linéaire découplé de l’articulation B
Objectif : Établir un modèle de comportement dynamique linéaire découplé des articulations afin de pouvoir synthétiser une commande monovariable.
II - Validation du modèle de comportement dynamique linéaire découplé de l’articulation B
Objectif : Valider le modèle de comportement dynamique linéaire découplé au regard du modèle linéaire couplé de l’articulation B.
Objectif : Régler les paramètres de la correction de l’asservissement angulaire de l’articulation B.
I - Synthèse de la boucle interne tachymétrique
II - Synthèse de la correction de la boucle de position angulaire en l’absence de la perturbation DB(p)
Objectif : Vérifier qu’il est possible d’envisager une commande monovariable du bras articulé.
I - Validation du choix du modèle de comportement dynamique utilisé pour synthétiser la commande monovariable de l’articulation B
Objectif : Valider le choix du modèle de comportement dynamique linéaire simplifié découplé pour synthétiser la commande monovariable de l’articulation B.
II - Commande par anticipation de l’articulation B
Objectif : Pallier l’erreur en suivi angulaire de l’articulation B.
Objectif : Valider le principe d’une commande monovariable par analyse des résultats d’une simulation.
Le sujet et le corrigé de cette épreuve sont également disponibles sur le site de l’UPSTI (Union des Professeurs de Sciences et Techniques Industrielles)
https://www.upsti.fr/espace-etudiants/annales-de-concours