
publié le 25 jan 2019 par Jean-Christophe DUCHATEAU
Pour aider les industriels français à s’adapter, le magazine Smart-Industries est entièrement dédié à la problématique de l’usine du futur, une usine intelligence, digitale, nouvelle.
Fin 2017, la France rattrape son retard
Au total 152 dirigeants d’entreprises industrielles de 100 salariés et plus réalisant un chiffre d’affaires d’au minimum 20 millions d’euros ont été interrogés entre le 30 novembre et le 8 décembre 2017 pour EY France par OpinionWay. EY s’est penché sur la maturité des initiatives menées par les industriels français, en lien avec l’amélioration de la performance industrielle et de l’expérience client, ou encore avec la transformation de l’organisation, pour faire face aux défis de l’Industrie du futur.
Smart-Industries, au cœur de Global Industrie
Avec Global Industrie, le groupe GLevents a réussi à fédérer l’ensemble des salons professionnels dédiés à l’Industrie, sans en faire un mélange insipide, prouvant que 1 + 1 fait parfois plus de 2.
Les deux premières éditions de Smart-Industries ont été les déclencheurs de ce grand rassemblement qui a permis d’élargir le public en termes de niveau décisionnel (plusieurs grands patrons ont fait le détour) et d’internationalisation. De quoi positionner un salon français dans le Top des salons à vocation internationale..
L’investissement étranger, moteur de la réindustrialisation au Royaume-Uni ?
Un titre choc, et un « pavé » de 122 pages documenté à souhait, réalisé par la Fabrique de l’Industrie pour parler de notre voisin britannique au moment du Brexit. Bonne idée. L’économie britannique montre, à ce titre, que l’on peut soutenir l’industrie nationale sans chercher à préserver coûte que coûte les champions locaux.
Industrie : un moteur de croissance et d’avenir
Dans un de ses nombreux avis, le CESE s’est penché sur l’industrie. Après une phase de bilan, elle propose des voies pour que l’Industrie devienne un moteur de croissance et d’avenir. Sur les 160 pages du rapport, nous avons retenu les questions liées à la numérisation et la robotisation. L’ensemble de l’avis restant disponible sur le site du CESE.
Vers la découpe 4.0 dans l’automobile
Les équipementiers considèrent désormais la satisfaction des préférences des consommateurs comme plus importante que la livraison du véhicule dans un délai plus court que celui de la concurrence. Les fonctionnalités comme la conduite autonome, le confort de l’habitacle et la personnalisation des véhicules en fonction des goûts des consommateurs sont devenues un moyen de se différencier. Dans une note Lectra évoque le volet « salle de coupe ».
Une révolution digitale
Le Syntec Numérique a publié fin 2017 un livre blanc sur la Révolution digitale qui reste une excellente référence pour comprendre les aspects purement technologiques, mais aussi mieux apprécier les équilibres économiques et les transformations associées.
Avec le digital, la société passe de la propriété au partage (économie collaborative…), de la maîtrise individuelle à la mutualisation (cloud, blockchain…), du système à l’écosystème (réseaux sociaux, API…).
Améliorer la visibilité de la Supply Chain
Selon l'étude réalisée par Sapio Research, pour le compte de Zetes, la priorité numéro un des entreprises est d’améliorer la précision, la rapidité et l'agilité de bout en bout de la Supply Chain.
Fondée sur les réponses de dirigeants du secteur manufacturier en Europe et en Afrique du Sud, l'étude Zetes témoigne d'un fossé inquiétant entre les objectifs opérationnels des entreprises et les résultats atteints.
IoT et IIoT
L’IoT n’est pas un produit, ni un réseau, ni un système : c’est un système de systèmes et, sur le plan des communications, un réseau de réseaux, dans lequel l’Internet va jouer un rôle fédérateur, une sorte de glu qui va permettre à des réseaux de natures très diverses de se concaténer. Telle est l’introduction de l’étude de 300 pages de la SEE, à se procurer sans attendre.
L’entreprise, objet d’intérêt collectif
L’Industrie du Futur n’est pas que technologique, elle est également organisationnelle et implique donc les Hommes. C’est dans ce cadre qui nous a semblé important de résumer le rapport de Nicole Notat et Jean Dominique Sénard, avec le concours de Jean Baptiste Nerfety, inspecteur des affaires sociales, et remis au premier ministre.
C Smart l’Industrie
Pour conclure, au travers de quelques photos, vous découvrirez que l’Industrie Intelligente, c’est Fun.
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