
publié le 01 avr 2015 par Richard ALLARD
Fondée en 1992, l’AFPR (association française de prototypage rapide) qui doit son nom du fait qu’à cette époque le prototypage était la seule application opérationnelle avec l’impression 3D, est la structure de référence qui fédère en France les utilisateurs et développeurs de cette technologie. Un nombre significatif de ces acteurs ayant déjà été interrogés sur ce site, la logique voulait donc que je me tourne cette fois-ci vers elle pour recueillir son expertise et son analyse du phénomène. En dépit d’un emploi du temps chargé inhérent à sa fonction de vice-président de l’AFPR et d’une technologie en pleine expansion, Alain Bernard a accepté mon interview. Acteur clef de la recherche sur l’impression 3D en France et auteurs de nombreuses publications sur le sujet, son témoignage me paraissait un apport incontournable à la compréhension du phénomène, de l’état de cette technologie et de ses perspectives. Questions pratiques, économiques ou pièges… Alain Bernard a répondu à mes interrogations comme de coutume aussi nombreuses que passionnées.